Pour de nombreuses personnes préoccupées par la crise écologique, l’autosuffisance à l’échelle locale s’impose comme une alternative responsable et durable par rapport à l’agriculture industrielle et intensive. L’accessibilité de ce mode de vie varie selon le lieu et le contexte socio-économique. L’équipe multimédia de l’Apostrophe vous présente deux visages de l’autonomie alimentaire au Québec: Andréa Jacques, en Estrie, et Florence Élias, à Montréal.
Illustration: Naïla Kitiara Houde